Moody, le chabot qui mesure l’humeur des salariés en télétravail par le Groupe Axys Consultants
Moody, le chabot qui mesure l’humeur des salariés en télétravail par le Groupe Axys Consultants
De nombreuses solutions ont été mises en œuvre pour faciliter le télétravail mais un des grands challenges est de manager les équipes à distance et de prendre soin d’elles. Pour cela, le Groupe Axys Consultants a développé un chabot simple et ludique. Il permet en un clic de connaître l’humeur de chaque collaborateur et aider ceux qui le souhaitent.
Malgré les points téléphoniques et les visio-conférences, il est parfois difficile de connaître l’état d’esprit réel des salariés dans une période particulièrement anxiogène où l’on est privé du feed-back des interactions physiques. Or il est important de soutenir tous ceux qui en ont besoin et qui ne prendront pas l’initiative de contacter leur manager. Le Lab IA a imaginé une solution simple et ludique qui prend la forme d’un chabot.
Chaque jour, les associés reçoivent un récapitulatif de l’humeur de chaque collaborateur, de son évolution dans le temps, les noms de ceux qui souhaitent être contactés et de ceux qui n’en n’ont pas manifesté le désir mais qui ont souvent répondu par les smileys « orange » et « rouge ».
« Comment prendre soin de nos collaborateurs et créer un climat favorable pour continuer à mener à bien nos projets à distance ? Un appel téléphonique systématique par un manager peut avoir un effet contre-productif et être assimilé par le collaborateur à un command/control avec la pression induite. Pour éviter ces appels, nous avons rapidement développé un petit bot pour évaluer l’état d’esprit de nos équipes »,
explique Jean-Luc Marini, Directeur du Lab iA et poursuit : « Baptisé Moody, ce bot a été développé pour Teams en 5 jours ! Il permet de demander facilement au collaborateur comment il va, en proposant de cocher le smiley associé à son humeur et de s’exprimer plus longuement via une case commentaire s’il le souhaite. Mais il peut également le désactiver ».
Après trois semaines d’utilisation les retours sont positifs : sur 250 salariés, 80 % indiquent qu’ils vont bien, 3% ont manifesté la volonté d’être contactés. Un seul a bloqué le chatbot et 3 n’ont pas souhaité répondre.